C’est le moment d’intégrer à notre protocole du couché une tisane de Melisse…
Elle fait partie comme l’ail des ours et d’autres encore, de ces plantes que l’on ne peut pas sécher…une feuille sèche est une feuille morte …c’est à consommer sur place.
Du coup ça vaut la peine d’en avoir dans son jardin ou sur son balcon pour aller en cueillir une poignée, de la jeter dans une tasse, de couvrir, d’attendre et de se laisser emporter par son parfum citronné…
Sinon il y a la teinture mère 
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Elle est pas compliqué à produire, elle sent bon, ses fleurs attirent les pollinisateurs, le hic c’est qu’il lui tient à coeur de nous rendre service et elle a la fâcheuse tendance de bien occuper le terrain et celui du voisin aussi l’année d’après…
Elle est indiquée pour lutter contre les états d’anxiété, de grande peur, de crise de larmes inopinées, de mélancolie, d’irritabilité…les gens qui réagissent bien à la Mélisse sont souvent ceux qui ne supportent pas l’effet sedatif des anxiolytiques (effet qui est indispensable pour d’autres).
Elle est contre indiquée chez les personnes traités contre les problèmes de thyroide.
On arrive à ses propriétés sur le système digestif souvent d’origine nerveuse, associé à la menthe poivrée, dans une petite tasse, elle limite les digestions difficiles, les flatulences…la poesie du ventre quoi.. 
Bref la Mélisse apporte la joie, la couleur, ses fleurs le sourire…c’est une douce caresse qui permet aussi l’endormissement quand quelque chose n’est plus là pour activer le valeureux marchand de sable …
